À chaque E3, lorsque Ivan grimace devant les annonces de jeux ultramodernes en marmonnant « de mon temps, on avait un bilboquet et on était déjà bien contents », j’opine du chef. Car si je n’ai pas connu la bienheureuse époque des jouets en bois et du plein emploi, j’ai moi aussi eu un genre de bilboquet que les jeunes d’aujourd’hui dédaignent à tort. J’ai eu les éditeurs de carte.