Depuis deux jours, je vis parmi des feuilles volantes noircies de notes, sur lesquelles on peut entrevoir les fragments d’une langue d’un autre monde, des phrases cryptiques griffonnées à la hâte (type « Les guerriers pas aimer mort // sujet verbe complément ») et des hypothèses hasardeuses (« XXX = alcool/chant/ami ? »). J’ai l’impression d’être devenue une Champollion des temps modernes, simplement parce que je joue à Chants of Sennaar.