Je n'avais jamais accroché à Warhammer 40,000. Dès que je tombais sur un ultramarine, je me disais que tant qu'à voir de gros types décérébrés qui jouent aux croisés, autant zoner dans le Vieux Lyon après 22h, au moins l'architecture est jolie. Eh bien figurez vous que, de la même façon qu'on enroule un médicament dans un bout de jambon pour le faire avaler à un chat, il suffisait, pour me faire aimer WH40K, de le cacher dans un fast-FPS.