Certains jeux se vendent bien grâce à une campagne de pub magistrale. D'autres, plus rares, connaissent le succès grâce à un heureux quiproquo. Tenez, en 2000, tout le monde a acheté Nox à cause de sa ressemblance prononcée avec Diablo. Sa 3D isométrique, son univers médiéval-fantastique et ses combats en temps réels laissaient présager des centaines d'heure à massacrer du démon pour obtenir des épées légendaires. Mais les développeurs de chez Westwood ne comptaient pas se créer leur propre Diablo. Eux, ce qu'ils voulaient, c'était un jeu d'aventure rigolo.