
« Mais pourquoi vos jeux ont-ils des défauts ? » | Des développeurs nous répondent
Dans le dernier numéro de Canard PC, à la rubrique « Je vis des hauts et des bas », nous avons couiné sur tous ces petits défauts qu'on trouve parfois dans nos jeux vidéo favoris, et qui finissent par ruiner la « qualité de vie » du joueur. L'article a suscité de vives critiques de la part des développeurs français sur les réseaux sociaux. Alors nous leur avons demandé de nous expliquer pourquoi nous avions eu tort de nous plaindre. Trois d'entre eux ont accepté d'être interviewés. Deux ont souhaité rester anonymes, pour avoir une parole plus libre. Nous les appellerons Roger et Raymond, ils travaillent au cœur de prestigieux studios français, l'un en tant que lead de son département, l'autre en tant que programmeur généraliste. Florent Maurin, lui, témoigne à visage découvert, car il est son propre patron. Il a fondé le studio indé The Pixel Hunt, à qui l'on doit le jeu Enterre-moi, mon amour. Tous les trois, ils nous expliquent pourquoi le jeu parfait n'existe pas, et comment ils reçoivent les critiques qu'on leur adresse. De quoi nous faire regarder les bugs avec un autre œil.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Hitman : World of Assassination - Il a Freelance, il a tout compris
Hitman a un souci. Oui, je sais, la nouvelle trilogie est incroyable, avec ses 23 terrains de jeu plus détaillés qu’une enquête de Mediapart. J’ai même souvent pensé qu’il n’y manquait pas grand-chose pour que je n’aie plus jamais besoin de lancer un autre jeu vidéo. Mais Hitman a le défaut des jeux qui n’en ont aucun : à un moment, il s’arrête. Enfin du moins, c’était le cas jusqu’au mois dernier.
Plus de la même catégorie

Le jeu vidéo avant Internet : le marché aux trucs et astuces - Des hauts hauts et des bas bas, gauche, droite, A, B, Start
On est en 1991 et vous êtes bloqué dans un jeu vidéo. Comment allez-vous sortir de cette impasse ? Non, pas en vous connectant à un site Internet. Ni en regardant un Let's Play animé par un youtubeur cocaïné qui se prend pour un singe hurleur. À cette époque, il faut soit être débrouillard... soit avoir un peu d'argent.

Le jeu vidéo avant Internet : nos années LAN - Et pourquoi il ne faut pas les oublier
Pendant plusieurs décennies, les joueurs de PC se sont livrés à un mystérieux rituel : ils apportaient leurs écrans cathodiques et leurs énormes tours au même endroit pour y jouer en réseau. Depuis, ces « LAN parties » ont presque disparu, laissant derrière elles le souvenir de joyeuses nuits blanches, d’odeurs douteuses et d’une époque où la technologie avait un vrai pouvoir rassembleur.