Dans les années 1960, la petite ville de Wellington respire la joie de vivre. Il faut dire que tous ses habitants se défoncent à la « joy », une drogue qui rend heureux en toutes circonstances. Sous son emprise, les mouches deviennent de jolis papillons, un rat mort se transforme en sympathique piñata et une rue grise semble irisée. Du coup, quand je vois l'écart entre la note d'intention et le résultat offert par We Happy Few, je ne peux pas m'empêcher de croire que les gars de chez Compulsion Games ont eux-mêmes consommé de la joy à s'en faire sauter les narines.