Si je n'ai pas pu vous parler plus tôt de Realms Beyond, c'est parce que je suis un lâche. Lorsque je propose un article sur un jeu de rôle PC en pleine conférence de rédaction, on me demande perfidement s'il est « développé près de la Pologne », s'il est « super moche et en vue isométrique » ou s'il est « en tour par tour très lent sur une grille d'hexagones ». En principe, je ris jaune et je propose finalement un jeu plus consensuel, par exemple un simulateur de tank ukrainien. Mais aujourd'hui, j'ai juste claironné un grand « oui ! ». Après tout, Realms Beyond coche toutes ces cases.