Dans Revita, on incarne un jeune garçon dont on ne sait rien, pas même son nom. Il a souvent l’air mélancolique, et se fait appeler « microbe », « bout de chou » ou « mioche » par tous ceux qu’il croise. Si j’ai bien compris l’histoire – et l’inverse n’est pas à exclure –, il a perdu la mémoire, avant de se réveiller sur un quai de métro et d’entamer la longue ascension d’une tour-horloge dans l’espoir de retrouver ses souvenirs. Ça n’a pas de sens, mais c’est très joli, et c’est un scénario de roguelite après tout.