Lancer un « petit jeu », du genre qui n’a pour ambition que de vous divertir quelques heures, est toujours un saut dans l’inconnu. Les attentes sont basses, voire inexistantes, l’horizon des possibles s’étend sans fin. Avec The King is Watching, je me doutais qu’on allait marauder du côté roguelite. Dans mon bingo par contre, je n’avais pas coché « simulateur d’Ivan Le Fou ». Maintenant, je le plains un peu.