Bien que jouable jusqu'à six, dans mon esprit, Dice Throne reste un jeu de duel. Il faut dire que tout est fait pour nous pousser à jouer dans cette configuration, des boîtes qui vendent les personnages par deux jusqu'aux règles qui semblent surtout pensées pour des duos.
Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Combien d'heures pour le terminer ? Seulement trois !
Quoi Toto ? Faut mettre plus de texte dans le chapo, sinon il est trop petit dans le magazine ? Ah bon ? C'est con, j'avais trouvé une intro parfaite, punchy comme il faut et tout. Bon ben et là avec ces lignes en plus, ça te va ? Parfait.
« Tu ne vois pas l'amélioration graphique de MALADE sur ce jeu ? Mais si, regarde les jantes chromées de la voiture, le décor se reflète dedans ! » Oui, difficile aujourd'hui d'en prendre plein la rétine sans sortir la loupe. Un phénomène qui, il n'y a pas si longtemps, était plus simple à appréhender puisqu'il suffisait généralement de lancer un jeu pour voir sa mâchoire se décrocher instantanément. Et si nous prenions le temps de revenir sur quelques claques visuelles ?
Vous savez, le bonheur, ça ne tient pas à grand-chose. Dans mon cas précis, cela s'est résumé à ouvrir une grosse boîte de jeu, persuadé que j'allais devoir encore me fader vingt ou trente pages de règles, pour finalement découvrir que celles-ci se résument à une toute petite feuille. Yaypouday.
Comme toutes les personnes saines d'esprit, j'ai un petit cahier qui contient mon top des meilleurs jeux vidéo Warhammer 40,000. Une liste où apparaissent, vous ne serez pas surpris de l'apprendre, des noms comme Mechanicus, Battlefleet Gothic 2, Space Marine ou encore Dawn of War 2. Et à côté, seul sur la page de droite, se trouve un titre qui a une place spéciale depuis 23 ans.
Prenons deux minutes pour analyser ces paroles : « Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Cowabunga le cri des ninjas ! » Avouez qu'en matière d'introduction, ça se pose là : deux mots, six répétitions et vous savez déjà l'essentiel, à savoir que ça va parler de tortues devenues ninjas. Eh oui, c'est tout à fait normal en 1987. Par contre, il est temps de vous révéler l'infâme vérité.
Lorsqu'on parle de Star Wars en jeux vidéo, il peut être tentant d'évoquer les incontournables, voire quelques projets avortés qui paraissaient prometteurs. Mais mon truc à moi, vous le savez sans doute déjà, c'est de fouiller les poubelles du jeu vidéo pour en remonter les pires trucs possibles. Des jeux tellement mauvais qu'ils en deviennent pénibles à prendre à main, ou même à regarder. Et sur ce point, Star Wars nous a gratifiés de pépites étranges ou carrément moisies, dont voici une petite sélection.
Selon vous, quel est le plus mauvais film de la trilogie Cornetto et pourquoi est-ce Le Dernier Pub avant la fin du monde ? Mais surtout, le fait d'être lanterne rouge dans ce classement rend-il le film mauvais pour autant ? Comme quoi, j'ai parfois du bol de me retaper certaines sagas avant d'écrire un article.
Vous savez, mon petit plaisir des beaux jours, c'est la rando. Marcher, admirer le paysage, grimper sur les hauteurs, hurler sa rage au monde puis rentrer chez soi un tout petit peu moins stressé, il n'y a que ça de vrai. Mais mon problème, que dis-je, ma malédiction, c'est de ne pas savoir randonner.
Issu du système de Pandemic, World of Warcraft : Wrath of the Lich King - A Pandemic System Board Game* reprend peu ou prou les mêmes mécaniques avec de petites modifications, destinées à lui donner une sorte de couleur locale. Ici, le méchant virus est donc remplacé par le Roi Liche et son armée de Goules, avec à la clé une simple mission : attraper le grand vilain et lui faire sortir les tritripes par la boubouche avant qu'il n'atteigne son objectif.
* Que nous appellerons « WoW », pour éviter l'apparition d'un acronyme du neuvième cercle des enfers.