Au cinéma, dans les séries ou dans les romans, parfois même dans certains journaux, une enquête peut être passionnante. Et puis en jeu, c'est autre chose : coincé entre vingt-six règles et douze contraintes de temps et d'espace, on ne peut que constater qu'on n'enquête pas vraiment, on joue simplement à un pastiche. Sauf, peut-être, dans Sherlock Holmes - Détective Conseil.
Depuis quelques années, on assiste à une petite révolution dans le domaine de la production et du financement des jeux de plateau : ils sont de plus en plus nombreux à être financés directement par les clients, en direct sur Kickstarter. En 2015, les jeux de plateau ont même récolté deux fois plus d'argent que les jeux vidéo sur la plate-forme de financement participatif. Qu'est-ce que cela change dans le marché des jeux de plateau, leur édition et leur distribution ? Et pourquoi diable est-ce que ça marche aussi bien ?
Les joueurs de jeux vidéo aiment jouer, les amateurs de jeux de plateau aussi... on pourrait croire que transposer un jeu d'une manette à des figurines tomberait sous le sens. Si aujourd'hui c'est de plus en plus courant, la pratique a en réalité longtemps été assez rare, et surtout réservée aux plus gros titres.
Que faire quand vous êtes Terry Cavanagh et que vous avez déjà connu deux fois un succès mondial, avec VVVVVV en 2010 et Super Hexagon en 2012 ? Comment survivre à pareille pression ? Depuis des années Cavanagh alterne prototypes non terminés et petits jeux bizarroïdes. Jusqu'à cette année, où il a imaginé Dicey Dungeons.
Vous savez déjà tous combien Dead Cells est excellent. Vous le savez car vous y jouez probablement déjà, peut-être même dès le début de l'accès anticipé il y a un an et demi, vous avez des dizaines d'heures dessus, vous n'en décollez pas. Je ne peux guère vous en vouloir si vous passez ces pages, car je suis d'accord avec vous : Dead Cells est excellent.
J'ai commencé à écrire sur les jeux vidéo il y a bien longtemps, parce que je m'ennuyais durant mes études de programmation informatique. Il semblait donc approprié que j'arrête d'écrire sur les jeux vidéo avec un jeu de programmation informatique. Je craignais de devoir le faire avec 7 Billion Humans, la suite d'Human Resource Machine qui semble bien trop complexe pour mes neurones vieillissants (et qui, ouf, n'arrive qu'après mon dernier bouclage), mais heureusement Zachtronics est arrivé à la rescousse avec son jeu annuel.
À New York, un petit groupe d'êtres magiques, de mages, de djinns et de fantômes tente de maîtriser les forces surnaturelles pour éviter qu'elles n'empiètent trop sur le monde des humains. La seconde saison d'A Wolf Among Us serait-elle arrivée plus tôt que prévu ? Eh bien pas du tout, c'est encore mieux : c'est le nouveau jeu de Dave Gilbert.
