
Écologie et jeu de plateau : comment allier la thématique à la pratique
Il y a environ un siècle et demi (c’était avant Darmanin, j’avais moins de rides), Kahn Lusth disait en lisant mon papier sur Black Angel : « C’est fou, tous ces jeux qui parlent du fait d’avoir bousillé la terre et de devoir l’abandonner… Les historiens du futur sauront qu’on l’avait vu venir, on aura l’air con. » C’était il y a longtemps, et nous sommes dans le monde d’après. Pas celui où on bousille moins la terre et où on a l’air moins con, mais celui où les thématiques ludiques ont pris un virage assez notable.
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Appelez-moi Ethan Unt’ : ma mission, que je suis bien obligée d’accepter parce que c’est moi qui l’ai proposée, est de critiquer la réédition d’un jeu qui recevait tous les éloges du monde il y a plus de vingt ans. Et j’ai eu beau fixer ma to-do list longtemps, cette tâche ne s’est pas autodétruite.
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