Il y a environ un siècle et demi (c’était avant Darmanin, j’avais moins de rides), Kahn Lusth disait en lisant mon papier sur Black Angel : « C’est fou, tous ces jeux qui parlent du fait d’avoir bousillé la terre et de devoir l’abandonner… Les historiens du futur sauront qu’on l’avait vu venir, on aura l’air con. » C’était il y a longtemps, et nous sommes dans le monde d’après. Pas celui où on bousille moins la terre et où on a l’air moins con, mais celui où les thématiques ludiques ont pris un virage assez notable.