
Parks Nightfall | Star Trek
OK, la beauté ne fait pas tout. L’intelligence, le sens de l’humour, sont autant de qualités indispensables. Tout le monde le dit, il faut dépasser la surface des choses, fuir la superficialité esthétique. Et puis, un jour, on croise ce ou cette mannequin moldave, qui ne parle pas la langue, mais fait pendre la nôtre. Parks est mon mannequin moldave du jeu de société.
Parks Nightfall
Genre : placement d’ouvriers, gestion de ressources, collectionCréateur : Mattox Shuler
Illustrateurs : Le collectif Fifty-Nine Parks Print Series
Éditeur : Matagot
Nombre de joueurs : 1 à 5
Nombre de joueurs optimal : 3
Durée : 30-60 minutes
Difficulté : moyen
Prix : 23 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Swamp Thing
« Mais il est complètement con, il a déjà parlé de Swamp Thing dans Canard PC il y a quelques mois. » Alors, premièrement bonjour. Deuxièmement, oui. Troisièmement : certes, mais j'ai parlé du Swamp Thing d'Alan Moore qui reprend la série créée par Len Wein et Bernie Wrightson. Et justement, c'est de cette première partie dont je veux parler maintenant, parce qu'elle est tout aussi fabuleuse. Je ne le savais pas, mais Bernie Wrightson est un monument du dessin, le genre d'artiste vaguement connu des non-initiés, mais dont tous ceux qui se sont frottés par la suite à une histoire d'horreur disent qu'il a tout inventé : les ombres, le cadrage, la mise en page. Bref, filez lire le début de Swamp Thing, continuez avec la série d'Alan Moore, finissez-vous sur Sandman de Neil Gaiman et, au passage, faites un petit détour par « Le Culte », une série de Batman, toujours par Wrightson.
Crédit image : Bernie Wrightson

Evil Dead : The Game - Raimi sans famille
« Qui sait conduire une voiture, ici ? », demande Ash à la cantonade, avant de se heurter à un silence gênant. Personne n'a jamais touché un volant de sa vie, et pourtant il va bien falloir que quelqu'un s'y mette : une horde de squelettes s'apprête à nous déchiqueter vivants, notre prochain objectif est à l'autre bout de la carte, et nos personnages poussent des hurlements de terreur à intervalles réguliers. Bon sang, qu'est-ce que ça m'avait manqué.
Plus de la même catégorie

Sylve - Cours forêt, cours !
Sylve a tout du petit animal mignon. Il est coloré, sa boîte crache des cœurs fourrés aux arcs-en-ciel, ses cartes ont un faux air de Pokémon. Sylve vous invite à le caresser, l’œil brillant et la langue pendante. Ensuite, comme tous les petits animaux mignons, il vous mord au sang.

Pessoa - Pierre, feuille, schizo
Le poète portugais Pessoa n’était pas dingue, il avait juste des pseudonymes. D’accord, un peu plus que ça, des hétéronymes, des pseudonymes avec leur propre personnalité. Mais il n’était pas dingue. Parfois, il recevait un journaliste sous l’une de ses multiples identités, en s’excusant lui-même de ne pas être là. Bon, d’accord, Pessoa était dingue.