Je défendrai jusqu'au bout le premier Alan Wake, jeu vaguement effrayant aux combats originaux, contre des monstres qui craignent la lumière. Bon, d’accord, le héros était insupportable à raconter en voix-off ce qui se passe à l’écran dans un style nanardesque. Mais là, treize ans après, Alan Wake revient et jure qu’il a changé.