Qu’il s’agisse du conte de Carlo Collodi, du dessin animé de Walt Disney ou de la version de Guillermo del Toro, Pinocchio m’a toujours traumatisée. Comment pourrait-il en être autrement avec une histoire qui, au gré de ses adaptations, a impliqué une marionnette qui se fait pendre, envoyer dans une île peuplée d’enfants destinés à être transformés en ânes et vendus dans des cirques, puis avaler par une baleine ? J’étais donc naturellement prête à finir en position fœtale devant Lies of P.