Jusqu’ici, l’adepte de jeux de gestion avait honte. Impossible, en société, d’expliquer qu’il passe son temps à « construire des usines de bagnoles » ou « diriger une prison ». Mais grâce à Mondo Museum, il pourra bientôt dire qu’il est « conservateur de musée », ce qui a tout de suite un sacré prestige. Merci, Mondo Museum. Maintenant il faudrait un simulateur de sentinelle qui garde la tombe du soldat inconnu, pour les amateurs de FPS confrontés au même problème.