| Modifié le le 25 mai 2021
Hier soir, d'humeur yolomax à fond les ballons, j'ai accepté une tasse d'earl grey sur le coup de 19 heures. À 2 heures du matin, sous l'influence de toute cette théine qui coulait à flots dans mes veines, j'étais donc plus éveillée que jamais, prête à partir faire le tour du monde à cloche-pied tout en rédigeant une nouvelle traduction de l'Ulysse de Joyce. Seul My Time at Portia est parvenu à me faire redescendre.