Parfois, dans cette industrie malade où les mégacorporations rachètent des studios uniquement pour les fermer afin de pouvoir cramer des milliards dans la production de jeux-services farcis de farming et de microtransactions, apparaît une lumière. Un espoir. Un jeu dont le concept ne repose pas sur une boucle de gameplay qui nous promet de faire la même chose pendant deux cents heures, mais sur la découverte, l'émerveillement, la beauté. Un jeu comme Starship Simulator.
L.F. Sébum
le 24 mai 2024