Sur le petit papier tout chiffonné où j'ai noté les jeux annoncés lors de la dernière conférence Realms Deep, à côté du nom de Forgive Me Father figure une mention hâtivement griffonnée : « c'est celui qui est joli ». Miracle de la mnémotechnie, en retombant dessus, je savais exactement de quel jeu il s'agissait. Et miracle de la vérification expérimentale, quatre heures de jeu plus tard, c'est une certitude : Forgive Me Father est joli.