| Modifié le le 25 mai 2021
Le jour de ma mort, en arrivant au Paradis, qui est très certainement peuplé de rôlistes (des gens qui passent leurs journées à apprendre par cœur le nombre de jets de d20 nécessaires pour tuer un dragon rouge n'ont ni le temps ni l'occasion de pécher), je m'agenouillerai devant Saint-Pierre et implorerai sa pitié. « Ô gardien des portes nacrées, je le confesse, je n'ai pas toujours eu foi en Solasta et je le regrette aujourd'hui. Mais j'avais mes raisons et, vu qu'on est ici pour l'éternité, je te prie (oui, tout le monde se tutoie au Paradis, c'est son seul point commun avec une start-up) de les écouter. »