
L’éthique de Stardew Valley et l’esprit du capitalisme | Comment les simulateurs de vie à la campagne nous aident à accepter le vide de nos existences
Il y a quelques semaines, mon estimé collègue ackboo livrait un article tout à fait distrayant sur un nouveau jeu d’escapade à la campagne, Dinkum. Avec ses mots simples, parfois maladroits, l’amusant rédacteur tentait d’exprimer les raisons qui nous poussent vers ce genre de jeu, et qui tiennent, selon lui, à l’évasion qu’ils promettent, loin d’un quotidien morose et déprimant.
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Il y a deux types de joueurs : ceux à genres et ceux à univers. Les premiers cherchent un FPS ou un city-builder, qu'il se déroule mille ans dans le passé ou dans l'avenir. Les seconds veulent explorer la galaxie de Star Wars ou l'Europe médiévale, que ce soit dans un roguelike ou un STR. Si j'appartiens sans conteste à la première catégorie, il existe un lieu fictionnel qui me ferait acheter le plus nase des puzzle games : la Zone.

Stalker 2 - En route pour une deuxième couche de zone
Des troupeaux de chiens faméliques qui errent au beau milieu d’un champ de ruines radioactives, une petite cahute perdue sur un parterre de coquelicots sauvages, un parc d’attractions laissé à l’abandon, un personnage qui se fait déchiqueter dans un marécage peuplé de cochons mutants : il y avait déjà de quoi trépigner face aux premières images de Stalker 2, dont la sortie a été plusieurs fois repoussée depuis le début de la guerre en Ukraine.
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Alors que j'entame ce qui sera probablement la dernière moitié de mon existence, je n'ai plus la force de mentir. Je ne veux plus me dissimuler sous le masque de la respectabilité, me contorsionner pour rentrer dans les bonnes cases. Je suis, en toute objectivité, un monstre. Un déviant. Un scélérat qui n'a pas sa place dans la société et encore moins dans Canard PC. Oui, je vous l'avoue aujourd'hui : je désactive systématiquement la musique dans mes jeux vidéo.