Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.