Paradox : le 4X, c’était un rêve à réaliser. Malheureusement, en 2016, comme le restaurant de Francky Vincent, le rêve s’est un peu pris le mur de la réalité. Moins que Francky Vincent, mais quand même un peu, puisque l’ami ackboo (c’est une figure de style, ackboo n’est l’ami de personne) gratifiait le jeu d’un grand 7/10, la note lâche, en indiquant que Stellaris était un bon 4X, mais pas beaucoup plus que ça et que, venant de Paradox, c’était un peu décevant. Mais voilà, trois ans ont passé, et avec eux, la ribambelle de DLC sur lesquels l’éditeur suédois a fondé sa politique économique.