| Modifié le le 25 mai 2021
La prudence est toujours de mise quand on aborde un jeu Funcom. Pas parce que l'éditeur norvégien a l'habitude de sortir des jeux capables de provoquer plus de soupirs de Kahn Lusth qu'un Monopoly Warhammer, mais plutôt à cause de son nom. On le sait, beaucoup d'organisations utilisent leur nom pour tenter de gommer une grosse lacune : on pense à la République populaire démocratique de Corée, à Pôle emploi ou même au Parti socialiste. Alors, quand un studio se sent obligé de placer « Fun » dans son nom, on est en droit de se méfier.