| Modifié le le 12 août 2021
Dans son roman Une porte sur l’été, Robert Heinlein racontait l’histoire d’un chat (« Petronius le sage », ce qui est un super nom maintenant que j’y pense, mais là n’est pas la question) qui passait chaque jour de pluie à miauler pour que son maître lui ouvre toutes les portes de sa maison l’une après l’autre, comme s’il espérait secrètement que l’une d’elles s’ouvre sur le beau temps. Dans Death’s Door, il y a aussi beaucoup de portes à ouvrir, et c’est souvent un grand moment de soulagement, d’émerveillement ou d’appréhension.