
Dune | Vous voulez que je vous fasse un destin ?
Nous sommes en septembre 1990 lorsque le projet Dune s'effondre. Depuis plusieurs mois, Virgin Interactive, son éditeur qui ne cessait de faire des reproches aux développeurs, décide de confier finalement la précieuse licence à Westwood Studio. Une histoire qui aurait pu en rester là, si un certain Frank Herman n'avait pas fait financer secrètement le titre par la branche londonienne de Virgin, dont il avait la responsabilité.
Dune
Jeu: DuneRecevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

The A.R.T. Project - Se coordonner d’art d’art
On ne peut pas jouer à tout, du coup j’ai une règle de vie qui s’applique aux coop' : si je gagne la première partie, c’est fini. Règle que je n’ai pas appliquée à The A.R.T. Project pour deux raisons : 1) cette première partie a été remportée sur le fil du rasoir, à un poil de pinceau pourrait-on dire (histoire d’être plus thématique et plus élégante que si je faisais référence à ce qui entoure nos coccyx) ; 2) faire plusieurs parties des jeux pour vous en parler, c’est mon boulot, en fait.

Le grand retour des échecs - Comment les jeunes générations se sont prises d’affection pour le noir et blanc
Je me souviendrai toute ma vie du visage de M. Mouton, mon prof d’histoire de cinquième, lorsque j’ai refusé de m’inscrire à son club d’échecs. Un homme brisé, à la mine déconfite, voyant le peu d’espoir qu’il avait en moi s’évaporer en un instant. À cet âge-là, je pensais avoir mieux à faire de mes dix doigts pendant la pause déjeuner. Eh bien aujourd’hui, bientôt vingt ans plus tard, je tiens à sincèrement m’excuser auprès de M. Mouton. J’aurais dû rejoindre le club d’échecs.
Plus de la même catégorie

Quand le sénat américain débattait de la violence dans les jeux vidéo - Ou comment Joseph Lieberman a voulu enterrer Night Trap et Mortal Kombat
Vous ne savez pas quoi regarder ce soir ? Ça tombe bien. J’ai le programme parfait pour vous : les auditions sénatoriales américaines de 1993 sur la violence dans les jeux vidéo ! Comment ça, « ça a l’air naze » ?

Giants : Citizen Kabuto - Viser la lune, ça ne leur fait pas peur
« Ils ne savaient pas que c’était impossible. Alors ils l’ont fait. » De quoi suis-je en train de parler ? Des huîtres au chocolat, du couscous-mayonnaise, de toutes les recettes improbables et écœurantes dont il existe, quelque part, une version délicieuse. Je parle de Giants : Citizen Kabuto.