| Modifié le le 25 mai 2021
Tous autant que nous sommes, nous avons vissé dans un coin du crâne un ou plusieurs jeux anciens dont on se dit : « Celui-là, dès que j’ai quelques jours de vacances ou un arrêt maladie pour un panaris, j’y rejoue et je le termine à nouveau. » Midwinter n’est pas de ceux-là. Et pourtant, il squatte mon loft cérébral depuis des décennies et semble s’être enchaîné au radiateur pour ne jamais pouvoir en être délogé.