
The Elder Scrolls II : Daggerfall
Lorsqu'un jeu vante l'immensité de sa carte, vous pouvez être sûr que vous en ferez le tour en dix minutes. Petit à petit, on s'est même habitués à appeler « monde » des bouts de terrain de quelques hectares maximum, peuplés de trente poilus et douze loups. Devant ce constat, une évidence émerge : face aux 200 000 km² et aux 15 000 villages de Daggerfall, les RPG modernes ne valent pas tripette.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

La guilde des expéditions marchandes - Chérie, j’ai rétréci négoce
Je ne suis pas fou des Truc & Write. Il y en a de bons, voire de très bons, mais rien à faire, j’y trouve rarement mon compte. J’ai accusé la mécanique, c’était facile. J’avais tort. Je suis beaucoup plus futile que cela. Pour que j’en aime un, il fallait enlever le « Write », dégager stylos, feutres ou crayons. Il me fallait des cubes et des cartes spéciales.

Hitman : World of Assassination - Il a Freelance, il a tout compris
Hitman a un souci. Oui, je sais, la nouvelle trilogie est incroyable, avec ses 23 terrains de jeu plus détaillés qu’une enquête de Mediapart. J’ai même souvent pensé qu’il n’y manquait pas grand-chose pour que je n’aie plus jamais besoin de lancer un autre jeu vidéo. Mais Hitman a le défaut des jeux qui n’en ont aucun : à un moment, il s’arrête. Enfin du moins, c’était le cas jusqu’au mois dernier.
Plus de la même catégorie

Age of Empires
Lorsqu'il s'est lancé, en plein âge d'or de Warcraft, Age of Empires aurait dû se planter sur toute la ligne. Face aux zeppelins loufoques et aux orcs ricaneurs de Blizzard, Ensemble Studios n'alignait que des peuples sortis tout droit de cours d'histoire-géo, des unités antiques tirées de bouquins rasoirs et des graphismes aussi proches du réalisme que possible. Autant dire que sur le papier, c'était l'ennui incarné. Mais Age of Empires savait ce qu'il faisait en jouant la carte du sérieux. Il misait avant tout sur l'immersion. Et bon sang, ce que ça a fonctionné.

Wizardry VII et Might and Magic : World of Xeen
En 1992, la série qui a inspiré Final Fantasy et Dragon Quest, rien que ça, s'offre son épisode le plus ambitieux. Fidèle à ses racines avec ses déplacements case par case et ses batailles au tour par tour, Wizardry VII innove surtout avec son vaste monde.