
The Secret of Monkey Island
Personne n’arrive à s’accorder précisément sur ce qu’on peut appeler l’âge d’or des point & click et jeux d’aventure sur PC. Certains estiment qu’il s’étend du milieu des années 1980 au milieu des années 1990, avant que des FPS en 3D comme Wolfenstein ou Doom ne les relèguent aux étagères poussiéreuses. D’autres pensent qu’il a fallu attendre la sortie de titres emblématiques tels que Monkey Island en 1990 pour que les jeux d’aventure prennent réellement leur envol, et que leur déclin a été amorcé vers la fin de la décennie, alors que de pâles copies de Myst saturaient le marché sans remporter de franc succès.
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Psycho Goreman
« Oh ça va, aucun risque, j'en ai vu des films bizarres. » Non. Vous n'avez jamais vu un film comme Psycho Goreman. Un film complètement pété, dont même Lloyd Kaufman et Troma n'auraient pas rêvé. L'histoire d'une petite fille psychopathe et de son frère qui, en jouant dans le jardin de leurs parents, tombent sur le sarcophage d'un guerrier extraterrestre aussi puissant que maléfique et qui va devoir se plier aux ordres de la gamine qui détient l'orbe magique à laquelle il est assujetti. Ce scénario complètement bidon n'est que prétexte à des gags absurdes et à une débauche de monstres d'une laideur telle qu'elle a dû pousser le budget « latex/carton » à des hauteurs jamais vues depuis les meilleurs épisodes de Bioman. Le pire, après avoir fini de regarder Goreman, est qu'on ne peut s'empêcher de penser que ce machin inidentifiable était plus réjouissant et original qu'une bonne partie de la production cinématographique traditionnelle. Et qu'on devrait laisser aux spécialistes des effets spéciaux, comme Steven Kostanski dont c'est le premier long-métrage, le soin de s'occuper plus souvent des scripts et de la réalisation.
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