Je crois dur comme fer qu'un jeu vidéo, pour reprendre la célèbre formule de Sid Meier, est « une suite de choix intéressants ». Évidemment, par « choix intéressants », ce vieux Sid entendait « forger un traité d'alliance avec l'empire austro-hongrois », alors que les choix qui m'intéressent depuis quelques jours impliquent, eux, de réfléchir à la mise à mort de quatre gardes patibulaires au moyen d'une clé anglaise et d'un téléporteur.