Quinze ans. Cela fait bien quinze ans qu'on attendait un grand simulateur de vol. Qu'on devait se contenter d'un produit bancal développé par une équipe minuscule (X-Plane) ou d'un jeu qui ne demandait qu'à partir en retraite (FSX). Ce qu'il convient d'appeler Le Moyen Âge de la simulation est désormais terminé. Développé avec le budget d'un AAA, exploitant enfin les technologies du XXIe siècle, Microsoft Flight Simulator signe la renaissance d'un genre qu'on croyait mort. Ma joie est incommensurable, mes check-lists sont prêtes.