Au sein d’une année compliquée d’un point de vue technique pour le jeu sur PC (avec notre salut républicain à The Last of Us Part I, Star Wars Jedi Survivor, Starfield…), Alan Wake 2 est une anomalie. Pas seulement parce que c’est un AAA qui a réussi à sortir dans un état de finition très convenable, mais surtout parce que c’est un représentant d’une espèce devenue extrêmement rare : celle des jeux qui osent pousser plus loin que jamais les limites de la technologie, et (re)font du PC la plateforme avant-gardiste qu’elle a jadis été. Il est là, notre Crysis des temps modernes.