C'est quand même fou les coïncidences. Cela va faire dix ans que Dead Space est en dormance et ne voilà-t-il pas que la série bénéficie d'un remake pour sortir un mois après The Callisto Protocol. Pour patienter, faisons donc le point sur les promesses de ce futur et inopiné concurrent.
« Oui bonjour, nous vous appelons pour vous proposer une remise exceptionnelle ! » Ces coups de fil, on en reçoit tous et tout le temps. Mais si tout le monde s'en plaint, il reste surprenant de constater que la plupart des victimes ne savent pas se défendre. Alors l'heure est à la riposte.
Il existe dans la vie toute une palette d'états et d'émotions vers lesquelles un jeu vidéo peut nous conduire. Il y a ceux qui vont nous transmettre de la joie, d'autres qui vont nous mettre dans une rage noire. Certains font passer du rire aux larmes. Et puis il y a aussi ceux qui vous laissent dans votre lit à trois heures du mat', à fixer le plafond en cogitant à tout ce que vous venez de vivre. Je vous laisse deviner à quelle catégorie appartient A Plague Tale : Requiem.
Bon ben voilà : Overwatch 2 est sorti et, à l'heure d'écrire cet article, je ne sais pas si je dois traiter ce « nouvel opus » (notez les guillemets), tant Blizzard semble prendre un malin plaisir à brouiller les lignes. Car Overwatch 2, c'est la suite d'un hit du FPS, mais aussi un jeu qui a besoin d'être dégrossi, voire un projet qui n'aboutira pas, au mieux, avant 2023. Allez, va pour un test, parce que j'ai une réputation de Cruel-en-Chef à tenir.
Nan mais vous savez, quand on est journaliste de jeu vidéo, on est vite blasé. À force de tester des dizaines de jeux, on a forcément tout vu. Prenez Wreckreation par exemple. C'est bien mignon de vouloir refaire Burnout Paradise, mais on y a déjà jo... Attendez, c'est un tremplin qui vient d’apparaître là ?
Vous ne connaissez peut-être pas Dave et pourtant, c'est un développeur qui a beaucoup d'histoires à raconter. Collaborateur de Ron Gilbert depuis le premier Monkey Island, crédité chez Telltale Games pour les saisons 1 et 2 de Sam et Max, co-développeur du moteur SCUMM... Un puits d'expérience à qui nous avons pu poser quelques questions.
Monkey Island, c'est le titre qui m'a fait aimer l'Amiga. Le jeu qui m'a fait comprendre qu'un jeu vidéo pouvait être autre chose qu'une chasse aux mutants/nazis/démons*. Un de ceux qui m'ont permis d'embrasser le jeu vidéo dans sa globalité. Alors quand on me promet une suite en 2022, autant vous dire que je l'attends avec un chocolat chaud dans une main et une chaîne de moto dans l'autre. Surtout lorsqu'on nous promet de révéler le secret qui donna son nom au premier jeu.
* Rayez les mentions inutiles.
Je déteste les jeux qui font du fan service, surtout lorsque celui-ci repose sur une youtuberie ou twitcherie en vogue. Alors quand un développeur des Mondes d'Aria me propose de passer à la rédac pour me montrer sa production basée sur Game of Rôles, je lui dis oui et je planque ma tronçonneuse dans un coin de la pièce, prête à démarrer.
C'est quand même dingue cette capacité qu'a le metal à nous faire mal quelque part. Vous écoutez un album et pan, vous avez mal à la nuque à force de bouger la tête. Vous allez voir Meshuggah en concert et zou, vous avez mal partout à force de vous cogner à tout le monde. Vous jouez à Metal : Hellsinger et crac, vous avez mal à la cheville à force de taper du pied.
À ma gauche, il pèse 45 kilos et pourrait bien crever d'un rhume, j'ai nommé l'idole des vieux : Roooooll20 ! À ma droite, doté de cuisses larges comme des troncs d'arbre et capable de maîtriser un système de jeu de rôle comme certains matent un taureau : Fouuuuundryyyy ! Et au centre, c'est l'outsider, il bave de rage et veut mettre des patates à tout le monde : Leeeet's Rooooole !