Cela faisait trois ans que ce bouquin dormait sur mon étagère. Il faut dire que Eisenhorn, dans sa version omnibus*, a de quoi faire peur, surtout lorsqu'on sait que la littérature de Warhammer 40,000 se résume souvent à décrire d'interminables combats. « Allez, après tout, celui-ci est super bien réputé », me dis-je un soir en sortant ce livre du formol... pour ne finalement plus le lâcher.