Enfin ! Depuis le temps qu'on nous rebattait les oreilles avec Dying Light 2, son Chris Avellone, sa « narrative sandbox », son univers modelé par chaque choix du joueur, il était temps de pouvoir expérimenter par nous-mêmes ces possibilités d'interactions, par exemple au cours d'une présentation où un développeur à moitié endormi fait semblant de jouer pendant que les journalistes, bien sagement alignés, regardent une vidéo de gameplay. C'est ça aussi, la magie du jeu vidéo.