Une grande carte du monde aux couleurs pastel, les grands empires du XXe siècle en chiens de faïence, des dizaines d’icônes et de sous-menus. Rien que du déjà-vu ? Oui, oui, c’est vrai. Sauf que dans Espiocracy, on ne contrôle pas une grande nation, mais son agence de renseignement.