Bien sûr, il est toujours possible que Stalker 2 perde ce qui faisait l’âme de son prédécesseur, âpre, brutal et à moitié déglingué. Qu’il ne devienne qu’un FPS AAA de plus, propre, lisse mais un peu trop banal. Mais il y a au moins un point sur lequel il est fidèle à ce qui a fait la légende de la licence : le chaos qui a accompagné son développement.
L.F. Sébum
le 24 juin 2024