| Modifié le le 25 mai 2021
Les plus anciens de nos lecteurs le savent : depuis l'été 2013, où je l'ai téléchargé « par curiosité », « comme ça », « pour comprendre ce qui plaisait tant que ça à Moquette là-dedans »Note : 1 Eurotruck Simulator 2 me fascine. Après des dizaines d'heures passées sur les routes de Pologne et d'Allemagne, devant un jeu a priori dénué du moindre intérêt, j'étais toujours incapable de me défaire de l'impression qu'il s'agissait d'un titre majeur, capable de susciter chez le joueur un sentiment de présence, de réalité, dont les autres jeux ne pouvaient que rêver. Seulement, j'étais incapable de savoir pourquoi : aucune hypothèse ne me satisfaisait totalement, si bien que j'avais fini par renoncer à trouver une explication. Jusqu'au jour où Guy Moquette, encore lui, m'a encouragé à essayer DCS World, le simulateur de vol ultra réaliste d'Eagle Dynamics. Et là, sur le tarmac de l'aéroport de Beslan, tandis que j'exécutais pour la énième fois la procédure de démarrage de mon A-10C, j'ai connu la révélation.
Note 1 : C'est en tout cas ce que je dirai à mon procès.