
Sport co’, jeu solo | Équation insoluble
Nos simulations de foot ont beau devenir de plus en plus réalistes et de plus en plus pointues, il est encore certains éléments-clés du jeu qu’elles n’arrivent pas à appréhender, notamment du fait d’une contradiction majeure : celle qui oppose un sport collectif à un jeu vidéo, divertissement conçu pour un seul et unique joueur.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

The A.R.T. Project - Se coordonner d’art d’art
On ne peut pas jouer à tout, du coup j’ai une règle de vie qui s’applique aux coop' : si je gagne la première partie, c’est fini. Règle que je n’ai pas appliquée à The A.R.T. Project pour deux raisons : 1) cette première partie a été remportée sur le fil du rasoir, à un poil de pinceau pourrait-on dire (histoire d’être plus thématique et plus élégante que si je faisais référence à ce qui entoure nos coccyx) ; 2) faire plusieurs parties des jeux pour vous en parler, c’est mon boulot, en fait.

Le grand retour des échecs - Comment les jeunes générations se sont prises d’affection pour le noir et blanc
Je me souviendrai toute ma vie du visage de M. Mouton, mon prof d’histoire de cinquième, lorsque j’ai refusé de m’inscrire à son club d’échecs. Un homme brisé, à la mine déconfite, voyant le peu d’espoir qu’il avait en moi s’évaporer en un instant. À cet âge-là, je pensais avoir mieux à faire de mes dix doigts pendant la pause déjeuner. Eh bien aujourd’hui, bientôt vingt ans plus tard, je tiens à sincèrement m’excuser auprès de M. Mouton. J’aurais dû rejoindre le club d’échecs.
Plus de la même catégorie

Quand les développeurs indépendants s’inspirent de la France - Nos régions ont du talent
Quand on cherche de tête les jeux qui représentent la France, on peut penser à des AAA à gros budget comme Assassin’s Creed Unity, des jeux de guerre comme Battlefield, ou encore des tas de jeux de course comme Gran Turismo 4 (et même Mario Kart Tour, si on va par là). Et même si les développeurs français ne sont plus bercés de tant d’insouciance depuis longtemps – saleté d’indiepocalypse –, eux aussi s’inspirent parfois plus du bas de leur rue que du bout du monde. Une représentation plurielle, souvent loin des clichés, et qui touche parfois un public étonnant.

Dans le monde étrange des creepypastas Super Mario 64 - Du lore entre les mains
Qu’est-ce qu’on ne ferait pas par ennui ! Comment vous occupiez-vous, coincé à la maison, en 2020 ? Vous faisiez votre propre pain ? Vous vous êtes mis à l’accordéon pour le plus grand bonheur de vos voisins ? Vous avez enfin écrit ce futur prix Renaudot que vous vous étiez juré de pondre un jour ? Eh bien, sachez que dans les tréfonds d’Internet, alors qu’une bonne partie de la planète était confinée, de nombreux adeptes de Super Mario 64 se sont mis à inventer les conspirations les plus glauques quant à son mystérieux développement.