
Postal 4 | Vraiment excrément
Que se passe-t-il chez Running With Scissors ? Après avoir confié Postal 3 à Trashmasters, pour un résultat minable, le studio s'est fait tout petit, au point de se cantonner aux add-on et autres remakes à destination de sa seule licence. Mais aujourd'hui, après avoir joué à l'accès anticipé de cette suite que personne n'attendait, il apparaît qu'un seul mot est en mesure d'expliquer cette curieuse discrétion : incompétence.
Postal 4
Jeu: Postal 4Genre: FPS
Developpeur: Running With Scissors (États-Unis)
Editeur: Running With Scissors
Plateformes dispo: PC Windows
Plateforme test: PC Windows
Langues: anglais
Drm: Steam
Sortie prevue: « Lorsque le bidet de Mike J sera à court d'eau. »
Config: carte graphique dédiée requise
Telechargement: 6 Go
Prix: 15 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Pourquoi je n’arrive pas à quitter Zelda : Tears of the Kingdom - L’histoire sans fin
Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.

Fretless – The Wrath of Riffson - La déroute du rock
Si vous lisez tous les articles de ce magazine (vous devriez car derrière le corps musclé de chaque rédacteur, il y a un petit cœur qui bat), vous aurez sans doute deviné que la Gamescom 2023 laissait la part belle aux jeux « à concept ». Pèle-mêle, on y a découvert : un Sims-like, mais avec des personnages dont on peut contrôler l’envie d’aller aux toilettes ! Un rogue-lite, mais dans une voiture ! Un simulateur de camions, mais dans l’espace ! (et encore, on n’avait pas la place de vous parler d’Headbangers : un jeu de rythme sous forme de battle royale, mais avec des pigeons !).
Plus de la même catégorie

Starship Troopers : Extermination - La fête de la Fédération
« Rien n'est plus puissant qu'une idée dont le temps est venu », écrivait Victor Hugo, qui par ailleurs écrivait aussi, dans Les Travailleurs de la mer, « Elle a un seul orifice. Est-ce l'anus ? Est-ce la bouche ? C'est les deux », alors bon, je ne sais pas si on peut faire confiance à ce genre de vieux crado. Toujours est-il que le temps des adaptations de Starship Troopers est venu. Après Terran Command et le SNU, voici venu Extermination.