En 2018, je ne suis pas tombé amoureux de Pillars of Eternity II : Deadfire. Pourtant j’aurais adoré me perdre dans cet archipel tropical sublime rempli de pirates et de sorciers. Mais le magnum opus d’Obsidian, probablement le jeu de rôle le plus ambitieux de la dernière décennie, était tiré vers le bas par un système de combat assommant. Un obstacle insurmontable pour certains, qui a disparu par surprise un an après la sortie du jeu avec l’apparition d’un mode tour par tour.