Il y a des classiques qui se prêtent à des ambiances travaillées.
Pour ce court roman, il est de bon ton de le lire en été, sous les pins et de préférence avec la peau salée du bain de l’après-midi. Si en plus vous ajoutez un fond de jazz (Art Blakey and the Jazz Messenger par exemple) et un verre de votre altérant favori, vous serez bien garés [NDLR : fonctionne également si vous êtes au café de la poste à Montargis].