C’est toujours rigolo quand on voit ce que les gros studios sont capables de dépenser comme temps, comme énergie et surtout comme pognon pour faire le jeu de l’année, et que le jeu de l’année (dernière, en l’occurrence) se trouve être un truc qui pèse moins de 300 Mo et qui se boucle en moins de deux heures, développé par un type tout seul.