Avec Stasis, les frères Bischoff avaient frappé fort. Leur jeu d'horreur en vue isométrique s'était vendu par palettes entières et avait mis « une claque » à Maria Kalash (8/10, Canard PC n° 324), preuve que le titre de championne olympique de kung-fu ne permet pas d'esquiver tous les coups. Autant dire que cinq ans après, on attendait de pied ferme les frangins de The Brotherhood. Je me suis jeté comme un seul homme sur le test de leur nouveau jeu, Beautiful Desolation. C'était la première fois de ma vie que j'étais optimiste pour quelque chose. C'était aussi la dernière.