Je viens de hacher une cinquantaine de terroristes russes à la mitrailleuse lourde. Les murs sont repeints du sang des corps anonymes qui jonchent le lino. Complètement désinhibé par la facilité déconcertante du métier de soldat, je dégaine le lance-grenades dans les étroits couloirs. BOUM. BOUM. HAHI-HAHI. Emporté par la fougue, je cause ma propre mort. Fondu au noir. Et j’explose, de rire cette fois, lorsque la citation qui perce l’écran du game over atteint ma rétine :