| Modifié le le 25 mai 2021
Au commencement de Days Gone, il y avait une promesse : dans le monde, il n’existe qu’une seule proie, et c’est vous. Par le passé, je me suis souvent posé des questions sur la cruauté dont j’aime faire preuve dans des mondes ouverts tels que ceux des GTA, où foncer sur des passants me donne parfois l’impression de faire des croche-pattes à des biches éclopées. Dans Days Gone, l’heure n’est pas à l’examen de conscience : tout le monde veut effectivement me faire la peau, et rien n’est plus grisant que d’enfoncer l'avant de ma bécane contre la tête des mutants, des maraudeurs et des loups qui ont juré ma perte.