Si Factorio était un morceau de musique, il lui faudrait tout un orchestre. Car Factorio est l’apothéose du jeu d’usine et de création de base, et à moins de quatre-vingts musiciens, on ne rendrait pas justice à la profondeur vertigineuse de son contenu. Il faudrait aussi que tous les instrumentistes soient des virtuoses, car Factorio sonne juste du début à la fin, sans aucune fausse note. Sauf qu’au lieu d’un air triomphal, il fait entendre une symphonie de tristesse.