« Attention, Ghostwire : Tokyo n’est pas un jeu d’horreur », nous avait-on assuré lors de la dernière présentation du jeu. C’est un fait dont j’ai quelque peu douté quand j’ai hurlé à la mort à cause d’un jumpscare impliquant une femme terrifiante munie de sécateurs géants, mais c’est sans doute la première chose qu’il faut savoir à son sujet.