Il a toujours déployé beaucoup d’énergie pour me charmer. La première fois, c’était une nuit de 1998, en plein été indien. Il faisait chaud, on a dansé un slow. Pas le plus fusionnel de ma vie. On s’est revus ; tous les deux ou trois ans ça recommençait. Mais rien à faire, il m’a toujours laissé de marbre. Alors aujourd’hui, il peut être fier, l’infinity engine, d’avoir réussi à me séduire.