| Modifié le le 25 mai 2021
Un rien me terrifie, le suspense m'angoisse, les bruits un peu forts me paralysent. Vous imaginez donc bien que je n'étais pas dans mon état normal le jour où je me suis porté volontaire pour écrire sur The Evil Within 2. « Non, non, ça ne fait pas peur », m'a rassuré Louis-Ferdinand Sébum. « C'est plus gore qu'autre chose », a surenchéri Maria Kalash. Dans leur dos, Guy Moquette roulait des yeux pendant que Pipomantis, l'air grave, gardait les siens rivés sur le sol. Quand je suis parti avec le jeu sous le bras, ils pensaient sans doute m'avoir vu pour la dernière fois.